- Le rapport annuel URD est chaque année un peu plus long, ce qui rend sa gestion particulièrement chronophage.
- Le nombre de contributeurs augmente à cause de l’intervention de contributeurs internes (services de consolidation, RSE, juridique) et externes (graphistes, traducteurs et partenaires XBRL en amont et en aval).
- L’année précédente, la version traduite en anglais avait été publiée beaucoup plus tard que la version française.
En tant qu’entreprise internationale cotée à la bourse de Paris, Séché Environnement est tenue d’établir un rapport annuel, également appelé document d’enregistrement universel (URD), pour chaque année d’exercice, dans les délais impartis.
Comme ses investisseurs sont répartis dans le monde entier, elle doit non seulement produire ce rapport URD en français, mais aussi en anglais. Depuis son introduction en bourse en 1997, Séché a choisi de faire appel aux services d’Acolad pour la traduction de ce document.
Toutefois, la compilation devient de plus en plus chronophage chaque année en raison des exigences croissantes en matière de contenu URD et du recours indispensable à des contributeurs supplémentaires.
Le délai entre la finalisation de la version française (langue principale) et la phase de traduction et relecture était supérieur à un mois, ce qui était loin d’être idéal. Par ailleurs, le projet ne pouvait se faire sans l’intervention d’intermédiaires, comme des agences de design graphique.
L’entreprise avait donc besoin d’améliorer l’efficacité et la collaboration, tout en permettant aux experts du domaine d’intervenir de façon plus directe et simultanée sur le document.